Y a plein de manières d’être un garçon » un documentaire inclusif et essentiel !
C’est quoi un garçon ? Enfin un livre invite les pré-ados et ados à s’interroger sur l’adolescence, la masculinité et le féminisme. Un guide très utile pour mieux te sentir dans tes baskets de garçon !
Ce quoi parle ce guide ?
Après de nombreux ouvrages féministes destinés aux filles pour les encourager à s’affirmer, ce guide sur l’entrée dans l’adolescence choisit de s’intéresser aux garçons. Parce que, oui, eux aussi subissent des pressions de la société : des attentes qui les complexent, les limitent et les poussent parfois à jouer les durs ou les « vrais mecs ». Ici, on remet en question ce qu’être un garçon veut dire. Avec des chapitres sur des sujets comme l’identité, le corps, les sentiments, les relations avec les autres ou encore l’avenir, ce guide s’adresse à tous les garçons : que tu te sentes bien dans ta peau ou un peu à part. L’idée ? Te montrer qu’il n’y a pas UNE seule façon d’être un garçon et que des valeurs comme le respect, l’égalité et la tolérance peuvent te rendre plus heureux et rendre ton entourage plus heureux aussi. C’est un livre bienveillant, qui parle le même langage que toi et qui t’encourage à être toi-même, sans pression. Une vraie invitation à la tolérance !
Pourquoi le lire ?
- Ce livre déconstruit les stéréotypes sur ce que signifie être un garçon
- Il aborde des sujets essentiels comme l’identité, les émotions et les comportements avec les autres.
- Il t’encourage à être toi-même, tout en valorisant des principes comme le respect et la tolérance.
- Auteur : Thomas Messias
- Illustrations : Sarah Loulendo
- Éditeur : Casterman
- Public : 10 ans +
- Thèmes : adolescence, féminisme, garçon, société, tolérance
- Genre : documentaires
- 96 pages
- Sortie : 12 février 2025
- Prix : 14.95 €
Les stéréotypes de genre
L’ensemble de ces phrases forme ce qu’on appelle les stéréotypes de genre : ce sont toutes les idées reçues qu’on peut avoir à propos des garçons ou des filles (puis des hommes ou des femmes, parce que c’est loin de disparaître à l’âge adulte). Le problème, c’est que ça ancre des idées fausses dans la tête des gens. Par exemple : « Les hommes semblent plus passionnés par le foot que les femmes. »